Derrière les magasins de luxe et les vitrines clinquantes du quartier chic de Ginza il y a, comme partout, une autre réalité. Des ruelles suintantes au milieu de murs fatigués; des aérations qui vomissent une vapeur acre, des portes ouvertes sur des entrepôts poussiéreux et des fenêtres cassées, bouchées à la hâte avec quelques cartons. Pour Vuitton et Cartier, c'est la première à droite.
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