vendredi 1 août 2008

Strass et paillettes

Pas de frontières pour le kitsch... sauf qu'au Japon on s'en donne les moyens. La taille du portefeuille permet souvent de rebaptiser le mauvais goût en "tendance" et le beauf en "fashion victim". Au final cependant, le luxe tapageur, l'argent vomi sans pudeur et la vanité bruyante sont des signes parmi les plus méprisables des efforts de l'humain en représentation. D'ailleurs, et surtout, c'est valable quand on habite la fonction la plus noble et la plus élevée d'une République.

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